lundi 27 septembre 2021

La vie est un roman


Flora Conway est écrivain à New York, qui jouit d'une belle renommée alors qu'elle n'est jamais apparue en interview et ne fait aucun salon. C'est son éditrice Fantine de Vilatte qui répond aux journalistes, qui apparaît à sa place pour recevoir un prix. Flora ne veut pas échanger avec ses lecteurs. C'est ainsi.

Et un jour, alors qu'elle joue avec sa fille de trois ans, Carrie, dans leur immense appartement, c'est la stupeur : la petite fille disparait, comme volatilisée, alors que l'appartement était fermé et la résidence sécurisée. 

De l'autre côté de l'Atlantique, Romain Ozorski, écrivain, peine à écrire son nouveau roman.  Sa femme l'a quitté, vidant les comptes et emportant avec elle leur fils Théo. Elle a demandé le divorce et souhaite la garde exclusive de leur fils, ayant pris soin auparavant de réunir de fausses preuves sur son mari qu'elle dit violent. Une vidéo de lui prise hors contexte, a fait le tour des réseaux sociaux. On le voit jeter un coup de pied dans un meuble, hurler. Mais cela suffit pour lui prêter une mauvaise réputation. Depuis Romain se terre, se cache, malheureux d'être accusé de faits qui n'ont jamais existés, malheureux de ne plus être avec son fils Théo qu'il voit en cachette grâce à la nounou.

Romain n'a plus envie d'écrire et alors qu'il songe à abandonner le manuscrit en cours, le personnage principal de celui-ci se rebelle : il s'agit de Flora. Elle l'invite à le rencontrer dans son univers et face à lui, elle lui demande de poursuivre l'écriture de son roman et de sauver Carrie.

Mon avis : Si j'avais adoré "La vie secrète des écrivains", j'avoue cette fois ne pas avoir été emballée par ce roman. Guillaume Musso s'est déjà essayé au roman où l'écrivain est face à face avec son personnage principal, dans "La fille de papier", mais cette fois le résultat ne m'a pas convaincue, pas plu. J'ai également trouvé que la lecture de ce roman n'était pas à la portée de tout le monde, pouvant être difficile à comprendre par moments. 


J'ai beaucoup parlé de lecture ces derniers temps, mais pas d'inquiétude, je brode, j'ai repris l'aiguille de façon plus régulière et vous aurez bientôt des photos !

Bonne journée ! 

Valérie

dimanche 5 septembre 2021

La Charmante Librairie des jours heureux


 La bibliothèque où travaille Nina va fermer pour raisons budgétaires et peu de postes seront conservés dans la "zone multimédia" du centre-ville. A son grand désespoir Nina n'aura pas de poste. Au lieu de rester au chômage et de déprimer, Nina va réaliser un rêve : avoir sa propre librairie, mais pas n'importe laquelle ; une librairie itinérante, à bord d'un gros van. Cela l'oblige à déménager dans les Highlands, là où elle a acheté son van, où la population est en demande de livres alors qu'il n'y a plus de librairie depuis longtemps et que la bibliothèque a fermé il y a quelques temps déjà.  Là-bas, entre Marek, le conducteur de train dont elle n'est n'est pas insensible, Lennox, le fermier bourru à qui elle loue un magnifique logement pour une bouchée de pain, Ainslee l'ado rebelle qu'elle prend son sous aile, Surinder son ancienne colocataire de Birmingham dont le séjour va s'éterniser, Nina n'a pas le temps de s'ennuyer... 

Mon avis : Encore un très bon roman "feel-good" de Jenny Colgan, cette fois il n'est pas question de coffee-shop ou boulangerie, mais d'une librairie, le vieux rêve de beaucoup de lecteurs d'avoir sa propre librairie (oui oui j'avoue j'en fais partie). On imagine facilement les paysages des Highlands, on sourit de la naïveté de Nina, mais on l'admire aussi pour avoir eu le courage d'avoir réalisé son rêve et d'être repartie à zéro dans un lieu inconnu et, au premier abord, hostile. Si je résume, j'ai bien sûr énormément aimé ! On passe vraiment de bons moments.

BOO ! Halloween et ses cartes !

L'envie de scrapper étant revenue (mais toujours à petite dose et uniquement quand j'en ai envie !) j'ai réalisé quelques petite...