Norferville

 

Teddy Schaffran est détective et criminologue en région parisienne et collabore avec les services de police. Il vient de découvrir l'identité d'un tueur en série quand on le contacte pour lui annoncer que le corps de sa fille de 28 ans, Morgane, a été retrouvé mutilé dans la ville de Norferville, dans le Grand Nord québécois, une ville minière isolée de tout, tout proche d'une réserve d'autochtones innus. Se rendant sur place, il va demander à pouvoir participer à l'enquête, ce qui lui sera accordé, compte-tenu des résultats de ses collaborations avec la police française. C'est Léonie Rock, une policière métisse, originaire de Norfeverville, qui va mener l'enquête. Ce retour dans la ville de son enfance et de son adolescence va la replonger en enfer, là où elle et son amie Maya ont été violées par trois hommes cagoulés. Parallèlement à l'enquête pour trouver l'assassin de Morgane, Léonie va chercher à retrouver ces hommes et leur faire payer ce drame qui hante ses nuits. 

Mon avis : Difficile d'en dire plus sans trop en dévoiler. L'histoire de Léonie va se mêler à l'enquête pour retrouver l'assassin de Morgane. Les failles des deux principaux personnages les rendent attachants et on espère le meilleur pour eux, même si Norferville ne s'y prête pas. On déteste le sergent Liotta qui méprise Léonie, même si sur le papier elle est son supérieur. C'est un peu une histoire à tiroirs et jusqu'à la fin le suspens est là. Mais quelle claque ! C'est magistral, il y avait un moment que je n'avais pas été "scotchée" par un polar ! On y découvre aussi l'horreur de ces femmes métisses autochtones disparues et assassinées au Canada, souvent dans l'indifférence... 

C'est le 2e roman de Franck Thilliez que je lis, après Pandémia il y a un peu plus de huit ans. J'avoue ne pas être déçue !

Norferville - Franck Thilliez - Editions Pocket

Valérie

Un cottage pour deux

 

Cléo travaille à Londres pour un magazine sur internet. A bientôt 30 ans elle est seule, et sa cheffe trouve là l'occasion de faire un article pour le magazine : elle envoie Cléo sur une petite île irlandaise pour que Cléo se retrouve avec elle-même, se marier avec elle-même. Une sorte de concept qui fait fureur sur les réseaux sociaux. Pour son séjour Cléo sera hébergée dans un luxueux cottage, tous frais payés.  Cléo accepte, sans réelle motivation si ce n'est d'éviter la fête prévue par sa famille pour ses 30 ans. 

Là-bas, dans le froid, elle atteint péniblement le cottage et y découvre avec stupeur qu'il est déjà occupé par un homme, un américain. Après recherches, ils découvrent que le cottage a été loué par erreur deux fois. Et il n'y a pas d'autre hébergement de libre sur cette petite île. Sachant que le prochain bateau pour les voyageurs n'accostera l'île que dans une semaine, ils n'ont pas d'autre choix que de cohabiter pendant une semaine, sachant qu'aucun des deux ne veut céder et quitter les lieux au bout de la semaine... La cohabitation risque fort d'être orageuse ! 

Mon avis : Si je n'ai rien compris au concept de se marier avec soi-même, cela n'est pas essentiel à l'histoire. Et j'ai vraiment adoré ce feel-good, une histoire en somme toute simple, mais très belle, entre deux personnes qui n'auraient jamais dû se rencontrer. J'ai aimé aussi les personnages secondaires de cette petite île : on aimerait pouvoir faire partie de leur communauté où l'entraide, qui nous fait défaut dans la société actuelle, est si présente. J'ai refermé ce roman le sourire aux lèvres. Un vrai feel-good qui fait du bien ! Je vais voir pour trouver un autre roman de cette auteure...

Un cottage pour deux - Josie SILVER - Editions Pocket

Valérie

Escale en Champagne - 1ere partie

J'ai certainement dû vous dire que je suis originaire de la région Champagne et que nous avons vécu longtemps aussi en Franche-Comté...

Et l'aîné de mes garçons avait envie de faire une virée champenoise, il n'était pas très grand quand nous avons déménagé. Mais sans arrêt dans la famille cette fois, c'était vraiment pour faire du tourisme (ce qu'on n'a jamais le temps de faire quand on va voir la famille).

Voici, pour cette première partie, un petite passage à  Ay et Châlons-en-Champagne.

Visite de la maison de champagne Bollinger à Ay. Ce nom vous dit peut-être quelque chose... C'est le champagne qui figure dans au moins une scène de chaque film de l'agent 007 James Bond ! Vous aurez appris au moins ça aujourd'hui 😉

A la dégustation nous avons eu 3 champagnes différents. Mon préféré, celui de gauche, "la grande année 2015", autrement dit un millésime ! 

Dans les caves, ici une réserve avec de vieilles, voire très vieilles bouteilles. Si je ne me trompe pas il y en a une des années 1890 !! L'accès n'est pas autorisé, photo prise derrière une grille.

Une autre réserve, celle-ci concerne tous les millésimes, bien sûr là aussi nous n'avons pas pu y accéder.

Mieux vaut ne pas se perdre dans les dédales des caves ! 

Ici une photo de bouteilles de millésimes, qui se reposent. La bouteille avec le chiffre 29 indique qu'il y a derrière 29 rangées de bouteilles... et ce n'était pas le seul endroit comme ça...

Ici, des vieilles vignes Bollinger travaillées à l'ancienne. Les pieds étaient disposés sans ordre sur des petites buttes. 

Et là, de vieilles vignes de Bollinger également, mais cultivées de façon traditionnelles, habituelles, en rangs, guidées sur des fils de fer.

Ici, la collégiale de Châlons-en-Champagne, je la trouve plus jolie que la cathédrale mais je n'ai pas pu la prendre en photo, déjà elle est enclavée et en plus il y avait pas mal de circulation à ce moment-là.

Ici l'église St Alpin, la plus ancienne église de Châlons.

Ici, dans la rue St Alpin, on pourrait croire à un décor de cinéma ou théâtre. 

Et pourtant, vue d'un autre angle, cette bâtisse est bien réelle, mais adaptée à la configuration des lieux.

Il y a quelques maisons à pans de bois à Châlons, ici le long du Nau, un cours d'eau qui traverse la ville.

Et à gauche, l'office de tourisme, dans une bâtisse à pans de bois également.

A suivre pour d'autres petites merveilles...

Valérie

Broderie en cours : Bord de mer de Madame la Fée

 

Il y a un long moment que je ne vous avais pas parlé de ma broderie Bord de mer, de Madame la Fée. Je n'ai pas beaucoup avancé en fait... En mars j'en étais là :

Et en début de ce mois de juillet j'en suis arrivée là :

Toute petite avancée en 5 mois... Mais l'important est de se faire plaisir et quand je la reprends, je suis toujours contente ! Et je l'ai avancé un petit peu depuis la photo de début juillet 😊

Bon dimanche !

Valérie

Dijon

Alors ça date, au mois de Mars je suis allée à Dijon, pour voir mon 2e garçon, étudiant. Et je n'ai pas encore posté ici quelques photos... Les voici ! 

Porte Guillaume. En la passant en venant de la gare, vous allez vers le centre-ville.

Magnifique maison à pans de bois, bien rénovée

Ici aussi

Plusieurs types d'architectures... ici la déco autour de la fenêtre centrale est magnifique !

Et à ses côtés, une autre maison à pans de bois

Palais des Ducs de Bourgogne

Une jolie devanture...

La chouette de l'église Notre-Dame, la légende dit que la toucher porterait bonheur. Mais attention, il faut la toucher d'une certaine manière, tout un petit rituel en fait... J'avoue : je ne l'ai pas touchée ! 😁

Encore une maison ancienne, ma préférée

Et là, c'était dans la cour d'un musée, un ancien puits.

Dès que je vois un lapin, je ne peux pas m'empêcher de prendre une photo. Ici c'était devant un tabac-presse.

A quelques kilomètres de Dijon, la nature et une petite cascade...

Voilà, j'espère que la balade vous a intéressée ! 

Valérie

Carrés TraLaLa : terminés !

 Oui, j'ai terminé le 4e carré d'hiver !!

Au mois de Mai j'en était là :

Et mi-juin, je l'ai enfin terminé ! Je dois avouer que j'étais soulagée car depuis le temps que j'avais commencé cette série (10 ans peut-être, voire plus...), en fait je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à broder les 4 carrés qui ne sont pourtant pas difficiles ! 

Voilà donc les quatre carrés et il va falloir que je m'occupe de la finition en couture, pensée depuis bien longtemps... Peut-être pendant la période estivale... 

J'ai une préférence pour le carré d'automne... Et vous ?

Sinon, pour information, j'ai répondu à vos commentaires depuis le 19 mai. Vous pouvez aller voir mes réponses si le cœur vous en dit 😉

Bon week-end !

Valérie

Cézembre

Yann Kérambrun vient s'installer dans la maison familiale à Saint-Malo, sur la digue du Sillon, face à l'île de Cézembre. Il a quitté Paris où il était professeur à la Sorbonne, ayant pris un congé sabbatique. Il n'en pouvait plus de la vie parisienne, plus encore depuis qu'il a lancé une procédure de divorce, suite à l'infidélité de sa femme. 

La demeure de Saint-Malo n'était plus occupée qu'aux vacances, ses parents ayant préféré vivre à Rennes dans un appartement plus confortable.

Voilà deux ans que son père, Charles, était décédé, quelques années après sa mère. Un père dur, froid, sans aucun geste de tendresse pour Yann et son frère Guillaume, voire méprisant. Mais qui avait su faire prospérer l'entreprise familiale fondée au début du 20e siècle par Octave Kerambrun, arrière grand-père de Yann. A la mort accidentelle de Guillaume qui devait reprendre l'entreprise, Charles a préféré laisser l'une de ses nièces reprendre le flambeau, à la grande stupeur de Yann, mais aussi son soulagement.

En s'installant dans la maison, Yann va découvrir dans le bureau de son père, qui a été aussi celui de son grand-père et de son arrière grand-père, des carnets où Octave consignait tout ce qu'il faisait, tant pour l'entreprise, que pour ses proches. Yann y découvre le début de l'activité de l'entreprise familiale, rapidement florissante, mais aussi que son aïeul était quelqu'un de doux, tendre, très amoureux de sa femme Julia et très préoccupé par ses enfants. Aussi Yann est curieux de découvrir pourquoi son père n'a jamais été comme Octave, à quel moment un père n'a pas su donner de l'amour à son / ses enfants et pourquoi. Etait-ce Octave qui avait changé ? Son fils Juste, le père de Charles ?  

En enquêtant sur l'histoire de sa famille, Yann va découvrir une histoire cachée, en lien avec cette île mystérieuse qu'est Cézembre.

Mon avis : Ma libraire à Combourg m'avait dit que ce roman était superbe. En effet, il l'est ! Je ne saurais vous en dire plus que ce résumé que j'ai fait ci-dessus. On alterne entre le passé, l'histoire d'Octave Kerambrun, l'arrière grand-père de Yann, et le présent, où Yann essaie de se reconstruire et de comprendre. Et c'est passionnant ! J'avais du mal à me défaire du livre ! Il y a juste eu un moment, vers la moitié du roman, où ça m'a semblé long, je ne voyais pas où on allait, je m'ennuyais même un peu.  Mais passé ce cap, finalement j'avais vraiment envie de découvrir les réponses aux questions que Yann se posait.  

Juste un bémol : il y a beaucoup de personnages entre le passé et le présent, je devais souvent regarder les deux arbres généalogiques pour m'y retrouver ! Mais cela ne m'a pas empêchée de suivre l'histoire et de l'apprécier...

Enfin, même si je connais bien Saint-Malo, ça m'a donné envie de découvrir quelle maison a pu inspirer l'auteur pour servir de décor à cette histoire. Peut-être que plusieurs maisons ont servi... Ou peut-être aucune... Mais je ne pense pas aller voir durant l'été : je suis en Bretagne depuis presque huit ans mais comme beaucoup de locaux j'évite Saint-Malo pendant la saison touristique : trop de monde ! 

Ah, et encore une petite chose : comme vous l'avez compris Cézembre est une île au large de Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine. Et qu'est-ce que la photo de la couverture représente ? Le château Turpeau, une sorte de manoir qui se trouve à Quiberon, dans le Morbihan... J'ai du mal à comprendre une telle erreur !! 

Cézembre - Hélène Gestern - Editions Folio

Valérie

 

STÖLD

 LU EN JUIN

Elsa a neuf ans et vit en Suède, près du cercle polaire. Elle, son frère et ses parents sont samis, un peuple qui vit principalement sur une zone au nord de la Suède, la Norvège et la Finlande, où ils élèvent des rennes.

Leur communauté est mise à rude épreuve car chaque hiver des rennes sont tués, massacrés, volés par quelques individus qui vouent une haine sans nom envers les samis.

Un jour, Elsa est malheureusement témoin du meurtre de son faon par un voisin qui menace de mort la fillette si elle parle. Elsa sera traumatisée et gardera la silence malgré la pression de son entourage, persuadé qu'elle a vu qui a massacré son faon...

Le temps passe et la communauté sami est de plus en plus victime de vols et massacres de leurs rennes, de harcèlement aussi. Les autorités ne font rien, classent les plaintes sans suite, ne se déplacent pas. Mais Elsa ne veut plus se taire. C'est le début d'un long combat pour elle, sa famille et la communauté sami...

Mon avis : Un roman très intéressant même si la première moitié est un peu longue. On se rend compte que le racisme existe aussi dans les pays nordiques, notamment ici envers ces peuples que sont les samis. Ce n'est pas un livre à lire si on est déprimé car il ne nous tire pas de sourire ni de rire, c'est un livre grave. Mais je suis contente de l'avoir lu et avoir découvert un monde qui j'ignorais. 

STÖLD - Ann-Helén Laestadius - Edition 10/18

Pour ajouter une petite note de gaieté, regardez le marque-page trop rigolo que ma cousine m'a offert pour mon anniversaire... J'adore !! 

Valérie

HUMUS

 LU EN JUIN

Une nouvelle promo s'installe à AgroParisTech. Deux étudiants en agronomie que tout oppose vont lier amitiés : Kevin, fils d'ouvriers agricoles et Arthur, fils d'avocat ancré dans la bourgeoisie. Inséparables le long de leurs études, ils suivront des chemins opposés en sortant de l'école : Kevin va se lancer dans la fabrication et la commercialisation de vermicomposteurs. Car durant leurs études, ils ont été fascinés par les vers de terre, des petits êtres incroyables qui aident la terre à vivre et à produire céréales, légumes, fruits... D'ailleurs Arthur va s'installer dans l'ancienne ferme de son grand-père et est déterminé à ne plus polluer la terre comme l'avait fait son aïeul, en utilisant cette ressource formidable que sont les vers de terre.

Mais cela ne va pas se passer comme ils l'espéraient...

Mon avis : Je pense que ce livre n'était pas fait pour moi, je m'y suis ennuyée, j'ai parfois eu l'impression de lire des cours d'agronomie. L'idée du roman était bonne, mais je n'ai pas accroché et j'ai trouvé la fin étrange (bon on va dire que les 50 voire 60 dernières pages m'ont vraiment ennuyée). Après, je ne rejette pas tout, j'ai appris des choses intéressantes sur les vers de terre et sur l'agriculture ! 

HUMUS - Gaspard KOENIG - Editions J'ai lu

Valérie

Trèèèèèès occupée !

Voilà plus d'un mois que je ne vous ai pas donné de mes nouvelles... Oups !  C'est involontaire ! J'avoue manquer de temps pour mes loisirs, surtout ces quinze derniers jours avec quelques déplacements pro qui m'ont mises sur les genoux ! Le soir trop fatiguée pour broder... 

Et j'ai repris l'écriture, je prépare mon 3e roman, qui sera la suite du 1er : "Divine idole". J'ai d'ailleurs relu celui-ci et pris pas mal de notes, afin d'être cohérente dans la suite. Ce serait quand même idiot que les personnages n'aient pas vieillis, que je zappe certains traits de caractère, ou des choses ou lieux du premier roman... Eh oui écrire demande de la rigueur ! 

J'ai toujours plein de choses à vous montrer en broderies, en paysages vus depuis le mois de mars, livres lus ces derniers temps (eh oui, 1/2 heure de train matin et soir, ça occupe, je pense que je pourrais prendre aussi une petite broderie pour les jours où je n'ai pas envie de lire, ça arrive, mais 1/2 heure ça fait court pour broder, à peine dedans il faudrait que je m'arrête, il faut que j'essaie)... Vous l'avez compris, je ne vous abandonne pas, ni mon blog ! Par contre, vous pouvez me retrouver sur mon compte Instagram d'auteure @valerie.raulet.auteure. Attention, ce n'est pas mon compte Instagram Perso, que je garde pour mes proches. Ni une copie de mon blog ici présent. Je n'y parle pas non plus que de mes livres, mais un peu de tout. Vous pouvez aller voir et juger si cela peut vous intéresser, je ne vous y oblige pas. 

En tout cas je reviens viiiiiiiiiiiiiite ici ! 

Bon dimanche !

Valérie

L'Eté de nos vingt ans

 

Antoine, né en 1920, rencontre Charles au collège. Ils deviendront inséparables et iront dans le même lycée, passeront leurs vacances d'été ensemble où ils travailleront dans le ferme des grand-parents d'Antoine. C'est au cours de ces vacances qu'ils tomberont amoureux de la même fille, Séverine, avec qui ils noueront un lien d'amitié pour l'un, et un lien d'amour pour l'autre. Enfin, ils envisageront aussi tous les deux les mêmes études. Mais alors qu'ils s'installent dans un appartement à Bordeaux avant la rentrée, le monde gronde autour d'eux : à la fin de l'été 1939 l'Allemagne envahit la Pologne. c'est le début de la seconde guerre mondiale... 

Mon avis : Dès le début, on comprend que l'histoire va être triste, rien n'est dévoilé mais le ton employé est triste, emprunt de regrets. C'est un belle histoire d'amitié et d'amour, que la seconde guerre mondiale viendra entacher, comme certainement beaucoup de couples, d'amis, dans la même période... J'ai lu beaucoup de romans de Christian Signol par le passé, j'aime le côté terroir qu'il s'en dégage, la vie à la campagne simple, paisible et rude à la fois. Si celui-ci est beau et touchant, il y a malgré tout quelque chose qui m'a gêné et je n'arrive pas à déterminer quoi... Vous avez déjà eu ce sentiment après avoir lu un livre ?

L'Eté de nos vingt ans - Christian Signol - Le livre de poche

Valérie

Broderie en cours : Silent night

Etant donné que je passe plus de temps sur mon carré d'hiver de Tra-La-La, je ne suis pas aussi assidue sur mes autres broderies... 

Donc l'avancée sur le Silent night est toute petite en deux mois. Mi-mars j'en étais là : 

Et j'en suis là : 

Un petit rennes est apparu, bondissant vers Noël ! 

Bonne journée !

Valérie